L’agroalimentaire Marocain flirte avec la syncope

Le Maroc exporte vers tous les continents des produits alimentaires, légumes, végetaux et fruits de meme que les engrais nécessaire a la survie et la production du sol. Paradoxalement  nous importons les produits de base de notre alimentation quotidienne. Notre pays leader mondial dans le nombre de barrages et celui des techniciens et chercheurs agronomes glisse dans la dépendance des importations pour couvrir ses besoins nationaux. On parle aujourd’hui de l’importation du lait Scandinave, après avoir depuis deux ans procédé a l’importation des moutons, des vaches et de la viande rouge émanant de plusieurs pays Européens.

Aujourd’hui, l’insuffisance alimentaire en production nationale est évidente ce qui accentue notre vulnérabilité aux fluctuations des prix mondiaux et notre dépendance de ;l’extérieur.

On parle de la sécheresse mais cela n’est qu’un faux alibi, l’eau utilisé pour produire les agrumes et fruit a l’exportation peut couvrir la production des céréales et du cheptel.

Favoriser une production locale crée des emplois dans l’agriculture et les secteurs connexes (transformation, distribution, etc.), ce qui soutient l’économie nationale et permet de limiter la dépendance aux importations et de maintenir la souveraineté alimentaire.

Notre pays dispose donc de l’eau, d’une main d’oeuvre compétente et bon marché et des technologies nécessaires , notre sol produit normalement et les engrais sont disponibles localemnt, rien ne permet donc a notre agroalimentaire de na pas atteindre et couvrir nos besoins en alipmentation.

L’importation de produits met les  agriculteurs locaux sur le chemin de l’hypnose   ce qui peut entraîner la disparition de notre savoir faire dans le domaine agricole et accentuer le chomage.

 

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