Restaurer la dignité humaine du Palestinien

Nous sommes liés aux Israéliens par la race humaine, par le sang des ancetres, et comme tout individu l’Israélien mérite une existence equivalente aux autres humains. cependant, aujourd’hui nous constatons la dérive des nations puissantes dans leur soutien aux Hebreux qui  pratiquement   opte et cible le rasage des Palestiniens de Gaza. On ne peut plus se cacher derrière le terrorisme, a Gaza, le peuple civile est visé, le génocide est evident . Les lois, l’ethique et les constantes sont banalisées et les cargaisons de bombes continuent d’etre convoyées vers l’espace en conflit.

Le monde a perdu sa valeur et sa dignité en ignorant ou meme assistant a la chasse meurtrière de plus de deux millions de Gazaouis.

suite a l’attaque par Hamas du 7 octobre 2023, La riposte d’Israël se traduit par une campagne ininterrompue de bombardements et de combats d’une intensité encore jamais vue sur une zone densément peuplée et enclavée comme Gaza : une grande partie des zones habitées, notamment dans le nord et le centre de la bande, ont pratiquement été effacés de la carte. Un siège est également imposé aux quelque 2 millions d’habitants de la bande de Gaza, qui dépendaient déjà à 80 % de l’aide extérieure avant le 7 octobre, dans le contexte d’un blocus imposé par Israël et l’Égypte depuis 2007 sur ce territoire.

plus de 43000 morts

plus de 100 000 blessés dont le tiers necessite le transfert a l etranger pour les soins

des villes rasées et la population ciblés par les massacres …

 

4 commentaires

  1. Les habitants de Gaza sont privés de biens essentiels tels que la nourriture, l’eau, les abris, le carburant et l’électricité, ainsi que de soins de santé, en raison du siège inhumain de toute la bande de Gaza, et particulièrement du nord du territoire, imposé par Israël. Jusqu’à présent, les approvisionnements autorisés à rentrer à Gaza ont été négligeables par rapport à des besoins qui ne cessent d’augmenter, à mesure que la population est déplacée sans cesse au gré des combats et des avis d’évacuation. La malnutrition s’étend, les maladies transmissibles se propagent, l’eau potable est rare, ce qui aggrave les conditions de vie des populations

  2. Dans le contexte actuel de bombardements continus de l’armée israélienne, les civils n’ont plus aucun endroit où se réfugier. Il n’existe pas de « safe space » aujourd’hui pour la population gazaouie dont 90% a été déplacée une ou plusieurs fois depuis le début du conflit. Fin août 2024, la « zone humanitaire » décrétée par Israël, dont le périmètre a changé plusieurs fois au cours des derniers mois en raison de l’évolution des opérations militaires d’Israël, ne représentait plus que 42 kilomètres carrés, soit 11 % de la superficie totale de la bande de Gaza. L’armée israélienne a pourtant bombardé et frappé cette zone, à l’instar de l’attaque sur un bâtiment abritant du personnel de MSF en février 2024, Israël déclarant cibler des combattants du Hamas. Face à cette catastrophe humanitaire, Médecins Sans Frontières appelle à un cessez-le-feu immédiat et durable, à la levée du siège et à la protection des structures médicales et du personnel médical. 

  3. suite au des blocages israéliens à l’entrée de nourriture dans le territoire et aux difficultés d’acheminement à l’intérieur de la bande, la quasi-totalité de la population de Gaza (environ 96 % des 2,3 millions d’habitants) est affectée par une insécurité alimentaire critique, selon l’IPC (initiative de classification de la phase de sécurité alimentaire). Cela se traduit par l’apparition de cas de malnutrition aiguë, en particulier chez les enfants. Empêcher un approvisionnement suffisant en nourriture revient à consciemment infliger une punition collective à la population de Gaza, assimilée à une cible légitime.

  4. Depuis le début de la guerre, les attaques contre les hôpitaux, les ambulances et le personnel de santé ont été systématiques. Selon le bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l’ONU, entre le 7 octobre 2023 et le 25 septembre 2024, 1000 travailleurs de santé ont été tués dans la bande de Gaza et au moins 370 ont été arrêtés. Actuellement, selon l’OMS, seuls 17 hôpitaux, sur les 36 existants dans la bande de Gaza, seraient encore partiellement fonctionnels et un total de 1 063 attaques ont été enregistrées contre les services de santé. 

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